APPEL pour le soutien au peuple palestinien qui souffre sous domination coloniale
L’actuel soulèvement des jeunes palestiniens reflète la volonté de toute une nouvelle génération de se libérer de l’illusion des « Accords d’Oslo », de sortir de l’impasse et de la division des partis palestiniens, et de confirmer l’unité du peuple palestinien , que ce soit en Cisjordanie, à Jérusalem, à Gaza, en Israël et dans les camps de réfugiés . La répression israélienne est terrible. Depuis le 1er octobre, plus de 70 Palestiniens ont été exécutés ou assassinés, plus de 2.500 blessés par balles et 1.500 emprisonnés, en majorité des jeunes. Lire ci-dessous un témoignage sur ce qui se passe ces derniers jours.
L’injustice qui règne sur la Palestine depuis 1948 favorise l’instabilité au niveau international.
Les institutions et le droit international sont discrédités par ce "deux poids deux mesures" intolérable !
La Coalition Boycott Désinvestissement Sanctions 63 organise un rassemblement :
Samedi 7 novembre, à partir de 10h.
devant Carré Jaude 2 à Clermont-Ferrand
- pour faire une chaine humaine la plus visible possible entre le magasin Carrefour Market (proche de Carré Jaude 2) et l'arrêt du tramway place de Jaude (près de Vercingétorix).
- pour distribuer un tract, rappelant ce qui se passe en Palestine, la nécessité de BDS (boycott citoyen) dans cette impasse et la journée nationale BDS Carrefour à l'appel de l'AFPS et de BDS France.
- pour faire signer la pétition de la Coaltion BDS 63 demandant à Carrefour de retirer de la vente les produits des colonies israéliennes en territoires occupés palestiniens.
Nous invitons tous les citoyen(ne)s à venir très nombreux avec drapeaux, keffiehs, t-shirts BDS, pancartes portant des slogans, etc.
Depuis quelques jours, une inflexion majeure autour du dossier hydraulique va bouleverser en profondeur la donne pour les opérateurs historiques, et particulièrement EDF. Les quatre fédérations syndicales se sont réunies le 21 octobre pour analyser ce risque de mise en demeure de la France par Bruxelles pour trop faible ouverture à la concurrence des concessions hydro-électriques.
La mise en demeure de Bruxelles vient de tomber : elle s’attaque désormais à la question de l’ouverture forcée de la production, et considère, qu’en France, la concurrence dans la production étant trop faible, c’est à travers la remise en jeu à marche forcée des concessions hydrauliques que les positions dominantes vont s’estomper.
Clairement la Commission signifie à la France que les engagements de l’ex ministre Borloo et de l’ex premier ministre Fillon doivent être traduits sous menace de pénalités financières.
200 agents départementaux réunis en assemblée générale le lundi 2 novembre 2015 se sont mis en grève reconductible à partir de 12h.
Le lundi 2 novembre après-midi les personnels mobilisés sont entrés dans l’hémicyclique départemental. Malgré la demande du Président du Conseil départemental aux conseillers départementaux d’aller siéger en commission, 53 conseillers généraux sont restés discuter avec les personnels.
Un certain nombre de grévistes ont ensuite passé la nuit dans les locaux départementaux contrairement aux fausses déclarations du Président à la radio qui a affirmé à tort que personne n’était resté sur place.
Le 3 novembre matin 200 agents départementaux, en grève, sont remontés dans les couloirs de l’assemblée départementale et ont accompagné les représentants de l’intersyndicale CGT, FO, SUD qui ont été reçus par le Président Gouttebel, Alexandre Pourchon, Pierrette Daffix-Ray, Jean-Luc Coupat et le DGS, le DGRH, le DGRM et le DGSAS. Le Président n’a fait aucune concession sur nos revendications. Il a seulement annoncé un Comité technique extraordinaire le 24 novembre 2015 à 9 h.
Violences contre les femmes au travail comme dans la vie ! stop !
Les violences contre les femmes nous concernent toutes et tous. Elles ont lieu dans tous les milieux sociaux, dans tous les territoires, dans tous les pays.
Le 25 novembre est la «journée internationale de lutte pour l’élimination des violences à l’égard des femmes». Les chiffres connus sur les réalités des violences subies par les femmes attestent que nous sommes face à un phénomène social qui a des conséquences sur la société et sur la vie au travail.
C’est aussi un système qui trouve son ancrage dans l’ensemble des inégalités des rapports sociaux de sexe allant des inégalités professionnelles (temps partiels, écarts salariales…) à une vision dévalorisante du corps des femmes jusqu’à la prostitution.
Les conséquences de ces violences sont accrues dans un contexte économique et social dégradé où il est très difficile de trouver du travail, une formation, ou de se loger, et où les politiques d’austérité fragilisent les services publics.
La violence n’est pas une fatalité et construire une société égalitaire, non violente et non sexiste est possible dès à présent ! Pour cela il faut agir dans les lieux de travail et dans la société.
Les salarié-e-s de l'ADAPEI sont en grève depuis lundi 19 octobre.
Ils dénoncent le choix au rabais fait par la direction, concernant leur complémentaire santé.
Le choix patronal d'une complémentaire santé financée à moitié par les salarié-e-s et l'employeur est issu de l'ANI 2013 ; lire le tract de l'UGICT CGT. Les employeurs sont exonérés de leurs cotisations sur ces mutuelles et les salarié-e-s doivent déclarer aux impôts la part financée par les employeurs comme avantage en nature. Il s'agissait d'un cadeau aux patrons, au détriment de la Sécu et des salarié-e-s, issu de l'Accord National Interprofessionnel de janvier 2013 que la CGT n'avait pas signé à l'époque ; nous dénoncions des accords de flexi-précarité à ce moment là.
Dans le cas des ADAPEI, le choix de la mutuelle ramène les prestations à peine au niveau des prestations de la CMU et chaque option coûtera très cher aux salarié-e-s.
Les manques de moyens dans les structures sociales et de santé se font dangereusement sentir ; dangereusement pour les usagers ainsi que pour les agents et salarié-e-s...
Cette somme représente plus que la future construction de la Comédie (30 M€), deux fois la réfection de l'Opéra Municipal ou soixante années de tarif solidaire pour les bus et le tram (600 000 euros).La Ville de Clermont-Ferrand, Clermont-Communauté et le SMTC se voient réclamer plus de 40 millions d'euros de pénalités pour des emprunts contractés avec la banque DEXIA dont la faillite a été prise en charge par l’État.
Ce sont les habitant-e-s de l'agglomération qui pendant vingt ans paieront la facture avec leurs impôts locaux.
L'Union Départementale CGT du Puy de Dôme organise un bus pour aller soutenir les salarié-e-s d'Air France incriminé-e-s.
Le bus partira à 05h00 du parking Auchan Nord, devant la médiathèque de Clermont-Neyrat (voir le plan). Il reste quelques places (vous inscrire ici). Nous aurons ainsi assez de temps pour rejoindre l'Assemblée Nationale (dans le 7ème arrondissement, proche de la place de la Concorde) où le rendez-vous a été donné par les Camarades d'Air France de 13h à 15h. Au programme des prises de paroles et des concerts. L'horaire de retour sur Clermont-Fd est prévu autour de minuit.
Au même moment, nous organisons une mobilisation de soutien devant l'aéroport de Clermont-Fd Aulnat.
Dans beaucoup de département, les aéroports seront aussi le rendez-vous de toutes et tous les militant-e-s qui refusent la criminalisation de l'action syndicale et se lèvent contre l'austérité et ses effets sur nos emplois et sur nos vies. Les aéroports de Nantes, Montpellier, Toulouse, Strasbourg, pour ne citer qu'eux, seront également dans l'action.
Rendez-vous de 11h à 14h30 devant l'aéroport d'Aulnat.
Les entreprises du secteur porteront leurs revendications :
HOP victime de restructurations,
L'AIA, où le statut de travailleurs de l'État est menacé,
L'aéroport VINCI de Clermont, où le délégué du personnel CGT Arnaud, subit de la discrimination anti-syndicale ;lire le tract.