LE 23 JUIN, DISONS STOP !

Michelin utilise l’argent public pour supprimer 2300 emplois d’ici 2023 et veut augmenter la productivité aux dépens de ceux qui restent.
Dans le même temps, la pandémie a servi de prétexte pour bloquer nos salaires.
Tout cela pour distribuer aux actionnaires, en 2024, 50% des bénéfices sous forme de dividendes !!!

En 2021 les entreprises du CAC 40 vont verser 51 milliards d’euros à leurs actionnaires.
Macron et son gouvernement continuent de leur verser des aides publiques.
De 65 milliards en 2007, ces aides sont passées à 110 milliards en 2012. Hollande et Macron les ont fait monter à 150 milliards d’euros.
En 2020, sous prétexte de lutter contre la Covid 19, le gouvernement a ajouté 155 milliards d’euros.
Allons-nous les laisser faire plus longtemps ?
CEUX QUI LUTTENT, NE SONT PAS SÛR DE GAGNER, MAIS CEUX QUI NE LUTTENT PAS ONT DÉJÀ PERDU.

Rassemblement place du 1er mai mercredi 23 juin !
À partir de 9h pour aller ensuite place des Carmes où auront lieu les prises de parole.
Avec la participation de M. Emmanuel Lepine, secrétaire de la fédération CGT de la chimie

Lire le tract de la CGT Michelin

Lire la circulaire de la branche caoutchouc rédigée par la FNIC CGT

Tract "poisson" d'Avril

L’entreprise Michelin, avec les bénéfices record de 2019, pouvait prendre en charge la période de confinement sans toucher au congés et repos des salariés. N’oublions pas que Michelin perçoit des millions d’euros d’allègement de cotisations pour les plus bas salaires, ainsi que diverses aides (crédit impôt recherche, exonérations de taxe foncières, aides régionales et locales ...).

 

Lire le tract du syndicat CGT Michelin

Accord du 1er avril, pas un poisson d'avril

 

 

Communiqué de presse

Chez Michelin, des salariés sont contraints de travailler sans prime, alors que la fabrication de pneumatiques n’est pas essentielle dans ces circonstances et que la santé du personnel devrait primer sur toute autre considération. Pour les usines en arrêt, la direction a imposé unilatéralement deux semaines -dont la 5éme semaine- de congés payés et des jours de RTT, de CET, de récupération ou autre.

Pour la CGT, l’attitude de la direction est scandaleuse et dément toutes les déclarations visant à donner une image d’entreprise vertueuse, sociale et protectrice de son personnel.

La CGT réclame l’arrêt de toutes les usines en France, la mise en sécurité des salarié(e)s, ainsi que le paiement de ces arrêts contraints à 100%, en prenant sur les dividendes des actionnaires si besoin.

C’est la force de travail qui doit être préservée, pas la bourse des actionnaires

Lire le communiqué de presse suite à la CSEC extraordinaire du 27 mars 2020

Communiqué CGT Michelin - Coronavirus

La pandémie mondiale de covid-19 qui sévit dans une grande partie du monde n’est pas sans affecter l’entreprise Michelin sur tous ses sites, en l’occurrence en France et à ClermontFerrand.

La CGT Michelin réclame le gel des dividendes plutôt que le gel des rémunérations.

Nous demandons la répartition des fonds ainsi dégagés de façons à indemniser les salariés à 100%, taux qui avait été annoncé et bien vite oublié par le gouvernement.

Lire le communiqué de presse du syndicat CGT Michelin

Le vrai malaise : le pouvoir d’achat. Un vrai problème, une vraie colère

Télécharger le tract des Camarades MIchelin

Compte-tenu des taxes supportées par les carburants en France, passer à la pompe revient à passer chez son percepteur : sur un plein de carburant (essence ou gazole) de 50 euros, chaque automobiliste acquitte 30 euros à l’État et 20 euros au pompiste. Sur ces 20 euros, environ 15 euros alimentent la spéculation sur le prix du pétrole et se retrouvent, au final, dans la poche des actionnaires. Le reste, soit environ 5 euros seulement, vont véritablement à l’industrie du raffinage et à la distribution (pipelines, camions citernes, dépôts et stations-services).

La France fait partie des 25 % des pays, sur la planète, appliquant un niveau élevé de taxes sur les carburants, destiné à générer des rentrées fiscales et inciter aux économies d’énergie dans les transports, selon une politique basée sur le prix d’accès aux carburants.

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