Mobilisation jeudi 12 août : OUI à la vaccination ! NON au flicage et à la régression sociale
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- Catégorie : Luttes interprofessionnelles
- Mis à jour : lundi 9 août 2021 17:41
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La casse et les projets de casse se multiplient dans le secteur de l’électricité et du gaz (EDF, ENGIE, GazelEnergie) : démantèlement, ventes à la découpe, fermetures de sites, suppressions d’emplois, destruction du service public de l’énergie...
La liste est longue et il faut réagir.
Face à ces attaques, la FNME-CGT met tout en œuvre pour défendre le service public et les intérêts de la population. Nous impulsons initiatives publiques, campagnes de communication, débats, interviews, convergences de luttes et même constitution d’un front commun composé de femmes et hommes issus de milieux syndicaux, politiques et associatifs ! Actifs et Retraités des IEG, depuis des mois vous avez été nombreux à répondre présents aux différents rendez-vous. Nous devons tous ensemble continuer et accroître le rapport de force !
Mardi 22 juin 2021, date anniversaire des 75 ans du Statut national du personnel des industries électriques et gazières, sera donc un temps fort et symbolique : donnons de la visibilité à notre colère, à nos propositions et à nos revendications.
Citoyens ou usagers nous sommes tous concernés ! La casse du secteur de l’électricité et du gaz est en marche :
VENEZ LA STOPPER.
L’énergie est un bien commun trop précieux pour être livré aux seules logiques financières et
marchandes. Elle doit être mise au service de toutes et tous pour l’intérêt général.
Si vous souhaitez vous inscrire pour un départ en gare de Clermont-Ferrand
merci d'envoyer un mail à cette adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Le 23 avril à 14h00 Place de Jaude, manifestons solidairement pour l’emploi, une sécurité sociale intégrale couvrant tous les travailleuses et travailleurs privés d’emploi en commençant par le retrait de la réforme de l’assurance chômage et le renforcement des services publics et de la Fonction publique.
La CGT du Puy de Dôme soutient l’occupation initiée par les travailleurs et travailleuses dans le spectacle et la culture et exige donc le retrait de la réforme de l’assurance chômage.
L’urgence sociale est bien de lutter contre la pauvreté grandissante et sécuriser les travailleuses et travailleurs tout au long de leurs parcours professionnels. Il faut stopper les licenciements et créer des emplois pour garantir des services publics partout pour toutes et tous.
Dans la suite du mouvement unitaire qui avait réuni des dizaines de milliers de manifestants le 4 mars et dans le cadre du mouvement d'occupation des lieux de spectacle qui s'est répandu ces derniers jours comme une traînée de poudre sur tout le territoire, le collectif « Culture en Danger 63 » occupe La Comédie de Clermont-Ferrand et appelle à des rassemblements tous les vendredis Pour gagner l’annulation de la réforme de l’assurance chômage, l’amélioration des droits pour toutes et tous et défendre l’emploi, les salaires et les services publics.
L’ampleur du soutien montre que ce n’est plus seulement un mouvement de revendications professionnelles du secteur du spectacle et de la culture mais bien une lutte commune pour l’ensemble des travailleuses et travailleurs qui souhaitent, comme dans tous les secteurs, retrouver un emploi et obtenir la garantie de tous leurs droits sociaux. Dans tous les domaines, la nécessité de répondre aux besoins de la population saute aux yeux, après des années de suppressions d’emplois dans le privé comme dans le public. L’urgence sociale est bien de lutter contre la pauvreté grandissante et sécuriser les travailleuses et travailleurs tout au long de leurs parcours professionnels. Il faut stopper les licenciements et créer des emplois pour garantir des services publics partout pour toutes et tous.
L’urgence est bien de faire valoir un autre partage des richesses !
On ne joue plus, on lutte !
Exigeons le retrait de la réforme de l'assurance chômage qui entre en vigueur le 1er juillet et qui menace de diminuer les allocations mensuelles des intermittents de l'emploi (guides conférenciers, employés dans la restauration, l'événementiel etc...).
Lire le tract "vendredi de la colère"