Luttes interprofessionnelles

Le 23 avril, pour l'emploi, la protection sociale et le retrait de la réforme de l'assurance chômage !

Le 23 avril à 14h00 Place de Jaude, manifestons solidairement pour l’emploi, une sécurité sociale intégrale couvrant tous les travailleuses et travailleurs privés d’emploi en commençant par le retrait de la réforme de l’assurance chômage et le renforcement des services publics et de la Fonction publique.

La CGT du Puy de Dôme soutient l’occupation initiée par les travailleurs et travailleuses dans le spectacle et la culture et exige donc le retrait de la réforme de l’assurance chômage.

L’urgence sociale est bien de lutter contre la pauvreté grandissante et sécuriser les travailleuses et travailleurs tout au long de leurs parcours professionnels. Il faut stopper les licenciements et créer des emplois pour garantir des services publics partout pour toutes et tous.

LIRE LE TRACT DE L'UD CGT DU PUY DE DÔME

Occupation de la Comédie de Clermont-Ferrand

Dans la suite du mouvement unitaire qui avait réuni des dizaines de milliers de manifestants le 4 mars et dans le cadre du mouvement d'occupation des lieux de spectacle qui s'est répandu ces derniers jours comme une traînée de poudre sur tout le territoire, le collectif « Culture en Danger 63 » occupe La Comédie de Clermont-Ferrand et appelle à des rassemblements tous les vendredis Pour gagner l’annulation de la réforme de l’assurance chômage, l’amélioration des droits pour toutes et tous et défendre l’emploi, les salaires et les services publics.

L’ampleur du soutien montre que ce n’est plus seulement un mouvement de revendications professionnelles du secteur du spectacle et de la culture mais bien une lutte commune pour l’ensemble des travailleuses et travailleurs qui souhaitent, comme dans tous les secteurs, retrouver un emploi et obtenir la garantie de tous leurs droits sociaux. Dans tous les domaines, la nécessité de répondre aux besoins de la population saute aux yeux, après des années de suppressions d’emplois dans le privé comme dans le public. L’urgence sociale est bien de lutter contre la pauvreté grandissante et sécuriser les travailleuses et travailleurs tout au long de leurs parcours professionnels. Il faut stopper les licenciements et créer des emplois pour garantir des services publics partout pour toutes et tous.

L’urgence est bien de faire valoir un autre partage des richesses !

On ne joue plus, on lutte !

Exigeons le retrait de la réforme de l'assurance chômage qui entre en vigueur le 1er juillet et qui menace de diminuer les allocations mensuelles des intermittents de l'emploi (guides conférenciers, employés dans la restauration, l'événementiel etc...).

Lire le tract "vendredi de la colère"

 

 

Le 4 février, ensemble, faisons entendre nos revendications

 Le plan de relance affiché par le gouvernement n’est en rien un plan de rupture avec les politiques de casse de l’emploi, de pression sur les salaires et sur les conditions de travail et d’affaiblissement de la protection sociale. Il plonge une grande partie de la population et notamment la jeunesse dans la précarité et la pauvreté.

 

Les gagnants sont bien toujours les mêmes et les entreprises les moins touchées par la crise seront celles qui bénéficieront le plus des baisses d’impôts

Ce constat impose de contrôler et de conditionner socialement et écologiquement les aides publiques. Il faut un véritable plan de relance combinant investissement public massif et soutien des revenus des plus fragilisés ou précaires.

47% des jeunes s’inquiètent pour leur emploi et le taux de chômage des jeunes a dépassé les 20%

Pas une journée ne se passe sans une nouvelle annonce de plan de suppressions d’emplois, de fermetures d’entreprises ou restructurations et réductions de services. Les réformes successives, contestées fortement, facilitent les licenciements et les suppressions de postes dans le privé comme dans le public.

Là encore, ni plan de relance, ni plan de rupture mais la poursuite du même objectif libéral de casse de l’appareil productif et des services publics.

La Cgt du Puy de Dôme affirme, au contraire, que la réponse aux besoins de toute la population, l’avenir de la jeunesse et la réussite de la transition écologique imposent la création de millions d’emplois. Cela passe aussi par le partage et la réduction du temps de travail.

L'Union Départementale Cgt du Puy de Dôme appelle l'ensemble de ses Unions Locales et ses syndicats, dans une dynamique de convergences et de renforcement des luttes, à un temps fort commun interprofessionnel de mobilisations et de grève le 4 février 2021.

Lire le tract de l'Union Départementale Cgt du Puy de Dôme

04 février : faisons entendre nos revendications

 

 La Cgt du Puy de Dôme appelle l'ensemble de ses syndicats, structures et leurs militant-es à une manifestation le 04 février au départ de la Place Delille à 10h00 le matin pour converger vers un rassemblement intersyndical prévu à 11h30 devant les marches de la Préfecture.

 

La pauvreté se développe alors que plus de 100 milliards d’euros ont été dégagés en quelques semaines. Tous les grands groupes qui en ont bénéficié ont annoncé le versement de 30 milliards d’€ de dividendes tout en annonçant des suppressions d’emplois dans toutes les catégories professionnelles.

Il n’y a pas de fatalité. Tout est une question de choix !

Lire le tract de l'UD Cgt 63

Lire le tract intersyndical CGT - FO - FSU - Solidaires - UNEF