NUMERO VERT - 0 805 384 899
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- Catégorie : Défendre mes droits
- Mis à jour : lundi 6 avril 2020 23:08
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Pour éviter de voir vos droits confinés, un seul remède, composer le 0 805 384 899
Pour éviter de voir vos droits confinés, un seul remède, composer le 0 805 384 899
36 Associations et syndicats s’associent à 88 avocats d’enfants et adressent une lettre ouverte au Premier Ministre pour l’alerter sur la situation dramatique de nombreux mineurs isolés qui, malgré les mesures prises par le gouvernement, continuent à être laissés sans protection.
Les obstacles à l’accès à une protection effective pour les mineurs isolés existaient avant la crise sanitaire, ils perdurent aujourd’hui. Les quelques mesures prises ces derniers jours et les recommandations adressées aux conseils départementaux ne suffisent pas à préserver tous les enfants de la rue lors des différentes étapes de leur parcours.
Contacts presse :
UNICEF France : Carine Spinosi – 01 44 39 17 49 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Le syndicat CGT du CHU communique sur la note d’information 2020-13 « recommandations de protection pour les soignants à risque ».
Nous avons fait un courrier au Directeur Général à ce sujet en demandant la suppression de cette note.
Le DRH adjoint dit dans un premier temps que la CGT a mal compris la note d’information et qu’il s’agissait « d’alerter les agents sur le risque pour qu’ils aillent à la médecine du travail », puis reconnaît que la médecine du travail évaluera si l’agent peut travailler avec des « mesures barrière »…ceci répond à des « recommandations » de la DGOS et la Haute Autorité car « nous n’avons pas les moyens de palier à l’absence des Personnels fragiles ».
"allez hop au boulot... " de la chair à VIRUS on vous dit
Cliquez sur le lien : http://chuclermontferrand.reference-syndicale.fr/2020/04/courrier-dg/
Contactez nous si vous avez des questions
Bon courage et soyez prudents
Syndicat CGT du CHU de Clermont-Ferrand
Tél:04.73.75.18.64 ou 04.73.75.18.65
Fax: 04.73.75.47.34
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NATIONALISATION DE L’USINE LUXFER A GERZAT :
FIN DE NON-RECEVOIR ET MENSONGES DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES
Qui assumera la responsabilité de ne pas avoir mis tout en oeuvre pour mettre à disposition des soignants et des malades tout l’approvisionnement possible en bouteilles d’oxygène, indispensables aux patients en déficience respiratoire lors de déplacement et dans les hôpitaux de campagne que mette en place l’armée pour pallier le nombre insuffisant de lits ?
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Depuis le début de la crise sanitaire, les militants Cgt et les permanences organisées dans les territoires reçoivent de nombreux appels de salariés-es concernant leurs droits au travail et hors travail (chômage partiel, garde d’enfants, prestations chômage, rupture de contrat …) et les mesures à prendre pour garantir leur santé et celle de leurs proches.
Les salarié-e-s, et plus particulièrement celles et ceux qui n’ont pas de syndicat dans leur entreprise se retrouvent souvent désarmés et sans réponse. Elles et ils sont très nombreux dans les TPE / PME, l’aide et le soin à domicile, les travailleurs saisonniers, de la sécurité, de la grande distribution, sans oublier les cadres, les coursiers, les plateformes, les intérimaires, les chômeurs ….
Pour permettre au plus grand nombre d’avoir des réponses adaptées à leur situation, la CGT met à disposition, à partir du 2 avril 2020, un numéro d’appel gratuit sur toute la région Auvergne – Rhône-Alpes.
Les permanences sont organisées du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h.
En dehors de ces plages horaires, chaque salarié-e aura la possibilité de laisser un message vocal en appelant le numéro vert.
Face à la crise sanitaire liée au coronavirus, des mesures exceptionnelles ont été prises.
Entre une peur permanente de tomber malade et l'obligation de continuer d'aller au travail, les travailleuses et travailleurs se retrouvent confronté-e-s à une situation complexe en évolution permanente ces derniers jours.
Vous êtes nombreuses et nombreux à vous interroger sur l’application et les conséquences du chômage partiel, sur la possibilité d’user du droit de retrait, sur les indemnisations pour garde d’enfant...
Pour répondre à toutes ces préoccupations et inquiétudes, le secteur DLAJ de l'Union Départementale Cgt du Puy de Dôme met à disposition un journal spécial COVID-19
Vous pouvez également retrouvez toutes ces informations sur le site confédéral de la Cgt en suivant ce lien. Une série de fiches sur chacun des grands sujets qui vous préoccupent sont mises à jour systématiquement pour tenir compte de toutes les évolutions qu’entraîne la publication des décrets d’application de la loi « d’état d’urgence sanitaire » qui vient d’être adoptée par le parlement.
Retrouvez également une interview exclusive de Philippe Martinez : avec le coronavirus, pas de confinement pour le social.
Le confinement lié à l’épidémie n’a pas mis les questions sociales et économiques entre parenthèses. Le gouvernement a promulgué une loi "d’état d’urgence sanitaire" qui arbitre nettement en faveur des intérêts des entreprises au détriment des salariés. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, a accordé un entretien à la NVO pour évoquer cette période inédite.
Dans cette période difficile, les organisations syndicales du Puy-de-Dôme CGT, FO, FSU, Solidaires et UNEF ne s’inscrivent dans aucun pacte avec le gouvernement. Elles restent aux côtés des salarié·e·s et de toutes les structures syndicales qui interviennent dans des conditions très difficiles pour faire respecter le droit du travail, pour préserver la santé et la sécurité des travailleurs et des travailleuses, pour défendre les revendications.
Une pandémie du format de celle d’aujourd’hui est le test fatal pour toute la logique du néolibéralisme. Aucune leçon sociale n’a été tirée de la crise économique de 2008. La crise qui aujourd’hui nous empêche de vivre ne peut une nouvelle fois être payée par les plus vulnérables. Tout en respectant le plus strictement possible les mesures de confinement, il est important à présent de déployer des solidarités locales avec les plus touché·e·s, d’empêcher la tentation de ce gouvernement d’imposer des mesures de régression sociale, de se préparer à la mobilisation générale pour imposer un autre avenir que celui d’un néolibéralisme confiné. Car, si rien ne pourra être comme avant, cet "après" commence dès maintenant. Il impose le respect et les moyens de la démocratie au travail et dans la cité, le respect et la garantie des droits et libertés, de l’exercice du droit syndical pour chaque salarié.e, pour nos organisations syndicales, pour les institutions représentatives du personnel et leurs représentant.es.
Une démocratie qui devra s’incarner en garantissant à tous et toutes les trois piliers fondateurs et modernes de notre modèle social que sont le service public, la Sécurité Sociale et le droit du travail.
CGT, FO, Solidaires, FSU et UNEF restent totalement mobilisées en particulier sur les revendications pour lesquelles elles agissent unitairement depuis plusieurs semaines.