Nous vous annonçons la tenue d'une conférence régionale sur les retraites pour les agents des collectivités locales et hospitalières (hôpitaux, ehpad, action sociale ...).
Notre caisse de retraite se porte bien, néanmoins l'état retire insidieusement la reconnaissance de la pénibilité de nos métiers (ex: auxiliaire puéricultrice, possibilité de retraite à 62 ans au lieu de 57.)
Agents des hôpitaux, EHPAD, Mairies, Conseils généraux et régionaux :
La CGT organise une conférence sur les retraites avec la participation de 2 administrateurs CNRACL:
Le Jeudi 2 OCTOBRE 2014 Grand Amphi IFSI-CHU (école d'infirmière ...)
1 Bd Winston Churchill, en face du CHU Place Henri Dunant
A partir de 17h00
Jacques COCHEUX
Secrétaire Général Coordonnateur Régional USD CGT63 SANTE ET ACTION SOCIALE 09 83 24 67 94 ou 06 87 13 40 40
Le décalage de 6 mois (d’avril à octobre 2014) de la revalorisation des pensions de retraite avait créé un tollé général et provoqué la grande manifestation du 3 juin dernier à Paris. Réunis en intersyndicale, les retraité-e-s avaient montré leur opposition à cette mesure austéritaire et brutale, et réclamaient justice et respect.
Après avoir cotisé toute leur vie active, les retraité-e-s voient aujourd’hui leur pouvoir d’achat baisser régulièrement à cause de la politique libérale décomplexée de notre gouvernement : suppression de la demi part fiscale, hausse des coûts pour la santé, etc.
En avril dernier, Seita, filiale du groupe Imperial Tobacco a annoncé un plan de sauvegarde de l’Emploi (PSE) portant sur 366 suppressions d'emplois soit près d’un tiers des effectifs (relire l'article).
Avec cela, le groupe, prévoit la fermeture de l’usine de Carquefou ainsi que le site de recherche de Bergerac. La délocalisation de ce dernier porte en elle, pour les salarié-e-s, un risque important de santé publique, pour des cigarettes qui seront distribuées en France.
Dans la dynamique de la campagne contre le coût du capital, la campagne de cette rentrée s'articule autour de la défense de notre système de protection sociale solidaire.
La réflexion de la CGT propose la reconquête de la sécurité sociale, par une remise en question totale du Travail tel qu'il est fait aujourd'hui. Les maladies professionnelles dues à une dégradation continue des conditions de travail sont une des causes de la mise en danger de la sécurité sociale.
De plus, notre protection sociale est mise à mal par le gouvernement actuel qui, par ses réformes libérales successives, la prive de nombreux de ses financements pour faire autant de cadeaux aux grands patrons.
Il est d'une importance vitale de sensibiliser et mobiliser les salarié-e-s, privé-e-s d'emploi et retraité-e-s à la défense de la Sécu !!!
L'association Chom'Actif, met à la disposition des travailleurs reconnus handicapés par la MDPH, un classeur avec une sélection des centres de formations agréés, les plus proches de Clermont-Ferrand, sur la table devant l’accueil au local de l'association situé 33 rue de Vertaizon à Clermont-Ferrand.
Le 17 septembre dernier, l’Autorité de la concurrence a publié un rapport dénonçant une véritable « machine à fric » pour les géants du BTP, actionnaires des sociétés d’autoroutes.
En 2005, la CGT avait combattu la privatisation des autoroutes imposée par le gouvernement de Dominique de Villepin et de son ministre de l’Économie Thierry Breton, qui affirmait, à l’époque, que « l’État contrôlera et fixera les tarifs (des péages) » et n’hésitait pas à sanctionner sévèrement les militants CGT qui s’opposaient à ce bradage devenu un scandale national.
On se souvient qu’un rapport de la Cour des comptes de 2008, confirmait ce qu’a toujours dit la CGT, en reconnaissant que la cession, pour une valeur d’achat de 14,8 milliards d’euros, était inférieure aux estimations de la valeur du patrimoine routier entraînant une perte d’1 milliard d’euros par an sous forme de dividendes liés aux participations de l’État.
"Alors que le gouvernement et le patronat parlent sans cesse de dialogue social et de concertation, dans les faits ils répriment tous ceux qui osent s'opposer à leurs politiques.
Des conflits récents ont éclaté et éclatent dans les entreprises. Ils font malheureusement la une des médias uniquement pour les stigmatiser : à la SNCM à Marseille, chez les intermittents, à Air France ou à la SNCF, à chaque fois le même discours anti-grève !
Pourtant, lorsqu'un conflit social se produit, c'est avant tout parce que les revendications des salarié-e-s ne sont pas satisfaites.La CGT est porteuse de nombreuses propositions alternatives dans le domaine économique et social. Ce n'est ni le gouvernement, ni le patronat qui peuvent donner des leçons à la vue des chiffres calamiteux du chômage et de la santé économique du pays !
Aussi, dans le Puy de Dôme et suite au conflit du mois de juin à la SNCF pour le retour à une entreprise unique, les dirigeants revanchards de la SNCF ont choisi de réprimer durement la grève et les grévistes.