Après la prolongation d'un an de la Convention TER qui lie l'Autorité Organisatrice des Transports à la SNCF, nous entrons dans une phase décisive de la négociation pour la prochaine convention qui prendra effet le 01 janvier 2017.
Suite à la réforme des territoires, cette nouvelle convention s'appliquera sur le périmètre Auvergne Rhône-Alpes.
Dans un contexte de libéralisation sauvage du transport ferroviaire et de mise en œuvre de la réforme ferroviaire du 04 août 2014, le nouveau président entend faire de notre région un laboratoire d'idées régressives et sécuritaires très éloignées des valeurs du Service Public : généralisation de la vidéo protection dans les gares et dans les trains, création d'une police spécifiquement dédiée au TER, mise en place d'un opérateur privé de Fret ferroviaire, mise en concurrence des cheminots pour les opérations de rénovation du matériel.
La CGT demande plus que jamais l’abrogation de la loi Travail. Recours juridiques au niveau national et international, mobilisations dans les entreprises font parties des moyens d’action. Voici, au cœur de la manifestation parisienne du 15 septembre 2016, des exemples, comme chez Alstom, PSA Peugeot Citroën, ou encore chez les sous-traitants des Aéroports de Paris, où les salariés se mobilisent pour que la loi ne soit pas appliquée.
Sur tout le territoire, ce sont plus de 110 manifestations et rassemblements qui se sont déroulés à l’appel des 7 organisations mobilisées pour continuer de dire non à la loi travail.
Malgré les mesures de sécurité draconiennes imposées par des préfectures pour pouvoir se rendre sur certains lieux de manifestation, plus de 170 000 salariés ont bravé les interdits et battu le pavé pour la 14ème fois.
A l’image du CNE-CPE, rien n’est gravé dans le marbre. Ce qui a été validé peut être annulé.
La rentrée sociale est à l’image de la météo, chaude et orageuse, n’en déplaise à ceux qui avaient déjà enterré le mouvement social.
Sur tout le territoire, ce sont plus de 110 manifestations et rassemblements qui se sont déroulés à l’appel des 7 organisations mobilisées pour continuer de dire NON à la loi travail.
Malgré les mesures de sécurité draconiennes imposées par des préfectures pour pouvoir se rendre sur certains lieux de manifestation, plus de 170 000 de salariés qui ont bravé les interdits et qui ont battu le pavé pour la 14ème fois.
L’Union Départementale CGT du Puy de Dôme appelle tous les salarié-e-s, retraité-e-s et privé-e-s d’emploi à la mobilisation, par la grève et la participation à la manifestation interprofessionnelle, jeudi 15 septembre 2016. La manifestation unitaire CGT, FO, Solidaires, FSU et UNEF partira à 10h, place du 1er Mai à Clermont-Fd.
L’engagement massif de toutes et tous est indispensable. Ce rendez-vous ne sera pas le dernier. Construisons la mobilisation dans nos entreprises pour donner de la force à la suite du mouvement, jusqu'à l'abrogation de la loi El Khomri !
Le caractère massif de la fraude fiscale mondiale révélée par les Panama Papers et l’action du Consortium international pour le journalisme d’investigation ont mis en exergue, au printemps dernier, un scandale planétaire.
À la suite de la mobilisation d’un certain nombre de députés européens, le Parlement de l’Union européenne (UE) a mis en place une commission d’enquête « chargée d’examiner les allégations d’infraction et de mauvaise administration dans l’application du droit de l’Union en matière de blanchiment de capitaux, d’évasion fiscale et de fraude fiscale ». Son mandat est de douze mois.
La commission d’enquête parlementaire européenne, composée de 65 membres, s’est réunie une première fois le 12 juillet dernier. C’est un acquis non négligeable qui constitue un progrès indéniable par rapport à l’affaire LuxLeaks, qui n’avait donné lieu qu’à la création d’une simple « commission spéciale », dotée de beaucoup moins de pouvoirs qu’une commission d’enquête. Il était politiquement impossible de ne pas donner cette suite-là après les révélations gigantesques des Panama Papers de début avril. Ces révélations ont d’ailleurs occasionné les démissions du Premier ministre d’Islande et d’un membre du gouvernement Rajoy en Espagne et qui touchent plus ou moins directement de nombreux dirigeants internationaux.
Le syndicat du commerce a lancé une offensive pour faire respecter un accord départemental de 1996. Cet accord prévoit un jour de fermeture fixe par semaine, dans les établissements vendant du pain, permettant ainsi aux salariés et aux artisans boulangers de bénéficier de cette journée au titre du repos hebdomadaire.
Il a été signé par les organisations syndicales et patronales du département : CGT, CFDT, FO, CFTC et syndicat de la boulangerie-pâtisserie du Puy de Dôme, la chambre artisanale des pâtissiers confiseurs chocolatiers du Puy de Dôme et le Conseil national des professions de l’automobile (pour les stations services).
Il a été étendu par arrêté préfectoral en date du 21 mars 1997.
Il s’applique à l’ensemble des établissements de vente au détail de pain, de produits de boulangeries, de pâtisseries, viennoiseries et dérivés de ces activités.
De nombreuses enseignes ne respectent pas cet accord !
Les 4 collègues ont enfin reçu leurs soldes de tous comptes avec la société CROM et donc, les salaires impayés depuis fin juin. Leur situation se débloque et ils peuvent maintenant s’inscrire à Pôle Emploi, prétendre à des indemnités, suivre des formations, entreprendre des démarches pour rechercher un emploi …
Ahmed, Momo, Alain et Hugo vous remercient chaleureusement pour l’élan de générosité auquel vous avez participé. Sans l’alerte lancée par la CGT et votre contribution, ils auraient pu se retrouver à quitter Orange et sans être payés, dans la plus grande indifférence.
Pour autant, les procédures judiciaires se poursuivent contre Orange et la CGT vous tiendra informés des suites données à l’issue du jugement sur le fond aux Prudhommes qui aura lieu le 5 décembre 2016.
Encore merci de leur avoir permis de traverser cette rude épreuve contre un patronat socialement irresponsable.