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Catégorie : Expressions Interprofessionnelles
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Mis à jour : vendredi 19 juin 2015 15:30
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La CGT lançait en 2013 la campagne pour dénoncer "le coût du capital". Cette campagne nous apporte beaucoup. Nous sommes aujourd'hui plus efficaces pour analyser l'accaparement par le grand capital de toutes les richesses que nous produisons. C'est un outil indispensable pour aller à la rencontre des salarié-e-s et leur expliquer que nous nous faisons toutes et tous spolier et que la CGT se bat pour un véritable partage de richesse. Cet outil reste disponible, notamment sur le site :
http://telechargement.cgt.fr/ mais il est aujourd'hui enrichi.
La nouvelle campagne se veut mobilisatrice, revendicatrice et offensive :
"Mon salaire pour vivre, c'est capital !"
Nous sommes toutes et tous concerné-e-s par la diminution du "pouvoir d'achat" depuis plusieurs années. Les pensions de retraite sont bloquées depuis 3 ans. La valeur du point d'indice des fonctionnaires n'a pas bougé depuis 2010. Le SMIC stagne et n'a connu aucun coup de pouce significatif depuis longtemps. Les minimas sociaux ne suffisent plus pour vivre décemment et sont menacés par les exonérations de cotisations sociales offertes au le patronat.
Pendant ce temps, toutes les richesses que nous créons profitent à une infime partie. Les bénéfices des entreprises du CAC 40 partent pour plus de la moitié aux actionnaires et très peu de ces bénéfices reviennent dans les caisses de l'État sous forme d'impôt.
Nous mobiliserons sur le thème du salaire.
Lire la suite : Campagne nationale : Mon salaire pour vivre, c'est capital !
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Catégorie : Expressions Interprofessionnelles
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Mis à jour : mercredi 15 avril 2015 11:10
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Le projet de loi relatif au renseignement est examiné à l’Assemblée nationale à partir de ce 13 avril, dans le cadre d’une procédure législative accélérée qui exclut une seconde lecture. Un texte jugé liberticide par nombre d’associations telles Privacy International, Amnesty International, la FIDH, la Ligue des droits de l’Homme et Reporters sans frontières.
Dans un communiqué commun, elles s’alarment: «La nouvelle loi prévoit que les agences de renseignement françaises seront autorisées à pirater les ordinateurs et autres appareils, et pourront espionner les communications de toute personne ayant été en contact, même par hasard, avec une personne suspecte» (Voir le texte sur le site de la LdH).
Lire la suite : Menace sur le web.