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Catégorie : INDECOSA 63
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Mis à jour : mardi 15 novembre 2022 19:52
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Pour la 1ère fois, cette année notre association INDECOSA CGT présente des listes de candidats Représentant des Locataires au Conseil d'Aministration de deux des trois bailleurs sociaux qui sont dans le Puy de Dôme... AUVERGNE HABITAT et ASSEMBLIA ex Logidome).
Pour l' INDECOSA CGT, le logement est un droit fondamental et inaliénable pour tous au même titre que l’emploi, les salaires et la protection sociale.... 1er poste de dépenses des familles, le logement prend une part de plus en plus importante dans le budget des ménages. Aujourd’hui les décisions du gouvernement MACRON, menacent le modèle économique du logement social, avec des conséquences graves pour tous les locataires et les mal-logés.
Le désengagement de l’Etat accentue le manque d’habitat social public, véritable drame pour des milliers d’habitants.
Lire le communiqué de l'Indecosa Cgt 63
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Catégorie : Luttes interprofessionnelles
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Mis à jour : lundi 7 novembre 2022 22:37
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Depuis des mois, face à l'inflation galopante, les travailleurs et les travailleuses de tous les secteurs professionnels se mobilisent pour obtenir des augmentations générales de salaire.
Le gouvernement ne répond aux urgences sociales et à la montée des inégalités que par des mesurettes inefficaces à l’image de la loi sur le pouvoir d’achat. Il poursuit même ses projets de régression sociale en matière de droit au chômage et de report de l’âge de départ à la retraite.
Dans le même temps, les entreprises touchent de plus en plus d’aides publiques – leur montant est estimé à plus de 157 milliards d'euros cette année. Les grandes entreprises, à l’image de Total Energies, versent toujours plus de dividendes à leurs actionnaires.
Malgré les répressions syndicales, les travailleur·ses engagé·es dans les mouvements sociaux restent déterminé·es. Seules les mobilisations par la grève dans les entreprises ou les services obligent ces dernières à ouvrir des négociations. Beaucoup de secteurs obtiennent d’ailleurs de belles avancées salariales grâce à ces rapports de force.
Augmenter les salaires est essentiel pour obtenir de bonnes retraites à 60 ans.
La hausse générale des salaires, c’est plus de cotisations pour la Sécurité sociale. C’est donc des moyens supplémentaires pour soigner, éduquer les enfants, être protégé·es en cas d’accidents du travail et de maladies professionnelles, de handicap. C’est aussi mieux vivre et vieillir à la retraite.
Face au projet de réforme des retraites injuste et rejetée par la très grande majorité de la population, la CGT porte des propositions alternatives finançables avec une autre répartition des richesses.
Défendre de bonnes retraites à 60 ans et plus tôt pour tous les métiers pénibles.
Obtenir des augmentations de salaires, du Smic et l’indexation automatique de tous les niveaux de rémunération sur le coût de la vie. C’est urgent et c’est possible tout de suite !
RASSEMBLEMENT JEUDI 10 NOVEMBRE A CLERMONT-FERRAND 10H30 PLACE DES LUTTES (ancienne Place des Carmes)
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Catégorie : Luttes interprofessionnelles
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Mis à jour : vendredi 14 octobre 2022 09:26
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La crise s’intensifie autour de la question des salaires. Depuis quelques jours, des fausses informations discréditent la grève des salariés de Total Énergies, faisant croire qu’il s’agit d’un mouvement de quelques privilégiés grassement rémunérés.
L’accord salarial du 3 octobre 2022 dans la branche Pétrole (que la CGT n’a pas signé) montre que les premiers coefficients (130 à 200) sont inférieurs au Smic.
- Un opérateur de raffinerie (coefficient entre 170 et 215) commence au Smic ;
- les chefs opérateurs (coefficient entre 310 et 340) ont un salaire de 2995,92 euros brut mensuel.
On est loin du chiffre de 5000 euros brut en moyenne annoncé par la direction de Total Energies, qui parle de moyenne dans un secteur où les écarts de rémunération entre les salariés et les cadres sont très importants.
Et l’inflation, prévue autour de 6 % pour 2022, vient accroitre les difficultés des travailleurs.
Un peu partout en France, les travailleurs se révoltent et réclament des négociations salariales dignes, au moins à la hauteur de l’inflation.
Pour les organisations syndicales du Puy de Dôme CGT, FO, FSU, Solidaires, l’UNEF et la LDH 63, la grève décidée et votée par les travailleurs∙ses est toujours légitime. Il est inacceptable que des élu∙e∙s et autres personnalités remettent en cause ce droit constitutionnel, en appelant à briser la grève par le pourrissement et y compris par le recours à la force. Pour CGT, FSU, FO, Solidaires, l’UNEF et la LDH 63 c’est clair : nous nous opposons à toute remise en cause du droit de grève et à toute répression contre les grévistes.
Il y a urgence oui, celle de répondre favorablement aux revendications des salarié∙e∙s !
CGT, FO, FSU, Solidaires, l’UNEF et la LDH 63 appellent à soutenir les salarié∙e∙s en grève et à organiser et amplifier les luttes sur les salaires, les traitements et sur les revendications dans toutes les entreprises et services. Rassemblement et conférence de presse à 18h00 vendredi 14 octobre devant les marches de la Préfecture de Clermont-Ferrand.
Lire l'appel intersyndical du Puy de Dôme
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Catégorie : Luttes interprofessionnelles
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Mis à jour : mercredi 21 septembre 2022 17:51
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Dans un contexte inflationniste très important, qui a débuté non pas avec la guerre en Ukraine, mais à la fin du 1er semestre 2021, remplir le réfrigérateur, accéder à la culture, partir en vacances devient en effet de plus en plus difficile pour bon nombre de travailleurs.
Et si le code du travail prévoit une indexation du SMIC en fonction de l’inflation, il ne prévoit pas en revanche d’indexation des salaires sur l’augmentation du SMIC.
Idem pour les minima de branches, qui devraient augmenter dans la même proportion que le SMIC. Ainsi, depuis la nouvelle revalorisation du 1er août dernier,152 branches professionnelles (sur 171) ayant des minima en dessous du SMIC pendant plusieurs mois.
Le gouvernement poursuit de même une politique fiscale qui assèche les comptes de l’Etat au profit des grandes entreprises et au détriment des services publics et du financement de la transition écologique. Nos organisations syndicales dénoncent également l’offensive libérale du gouvernement Macron contre l’éducation nationale, la recherche et l’enseignement supérieur. Par ailleurs, il prévoit une contre-réforme de l’assurance chômage qui va à l’encontre du droit des travailleurs et travailleuses de la possibilité d’avoir des indemnisations du chômage justes, une réforme du RSA qui le conditionnerait à une obligation de travailler de 15 à 20 h hebdomadaires, et continue d’envisager une réforme des retraites qui exigerait de travailler davantage et pourrait conduire à amputer encore davantage le montant des pensions. En ce qui concerne les jeunes et leurs familles, les aides (bourses, APL, allocation de rentrée scolaire) ne sont pas suffisantes pour compenser l’inflation. Une revalorisation significative des bourses scolaires, des APL et de l’ARS est nécessaire pour pallier le prix de la rentrée (qui avec l’inflation a grimpé de 5 à 10 %).
De plus, trop peu de familles bénéficient de ces aides en raison du plafond de ressources à ne pas dépasser. C’est pourquoi la CGT, Solidaires, la FSU, l’UNEF, la Voix Lycéenne et la Confédération Paysanne appellent dès à présent à une journée de grève interprofessionnelle le jeudi 29 septembre qui doit s’inscrire dans une mobilisation large et dans la durée.
Quand l’injustice devient loi, il est de notre devoir de nous mobiliser, de ne pas être dans la fatalité et l’immobilisme. Lutter, c’est agir !
Toutes et tous en grève et en manifestation le 29 septembre ! Départ de la manifestation à 10h30 Place des Luttes (Place des Carmes).
Lire le tract intersyndical départemental
Lire le tract de l'UD Cgt 63