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Catégorie : Luttes interprofessionnelles
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Mis à jour : lundi 7 novembre 2022 22:37
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Depuis des mois, face à l'inflation galopante, les travailleurs et les travailleuses de tous les secteurs professionnels se mobilisent pour obtenir des augmentations générales de salaire.
Le gouvernement ne répond aux urgences sociales et à la montée des inégalités que par des mesurettes inefficaces à l’image de la loi sur le pouvoir d’achat. Il poursuit même ses projets de régression sociale en matière de droit au chômage et de report de l’âge de départ à la retraite.
Dans le même temps, les entreprises touchent de plus en plus d’aides publiques – leur montant est estimé à plus de 157 milliards d'euros cette année. Les grandes entreprises, à l’image de Total Energies, versent toujours plus de dividendes à leurs actionnaires.
Malgré les répressions syndicales, les travailleur·ses engagé·es dans les mouvements sociaux restent déterminé·es. Seules les mobilisations par la grève dans les entreprises ou les services obligent ces dernières à ouvrir des négociations. Beaucoup de secteurs obtiennent d’ailleurs de belles avancées salariales grâce à ces rapports de force.
Augmenter les salaires est essentiel pour obtenir de bonnes retraites à 60 ans.
La hausse générale des salaires, c’est plus de cotisations pour la Sécurité sociale. C’est donc des moyens supplémentaires pour soigner, éduquer les enfants, être protégé·es en cas d’accidents du travail et de maladies professionnelles, de handicap. C’est aussi mieux vivre et vieillir à la retraite.
Face au projet de réforme des retraites injuste et rejetée par la très grande majorité de la population, la CGT porte des propositions alternatives finançables avec une autre répartition des richesses.
Défendre de bonnes retraites à 60 ans et plus tôt pour tous les métiers pénibles.
Obtenir des augmentations de salaires, du Smic et l’indexation automatique de tous les niveaux de rémunération sur le coût de la vie. C’est urgent et c’est possible tout de suite !
RASSEMBLEMENT JEUDI 10 NOVEMBRE A CLERMONT-FERRAND 10H30 PLACE DES LUTTES (ancienne Place des Carmes)
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Catégorie : Luttes interprofessionnelles
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Mis à jour : vendredi 14 octobre 2022 09:26
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La crise s’intensifie autour de la question des salaires. Depuis quelques jours, des fausses informations discréditent la grève des salariés de Total Énergies, faisant croire qu’il s’agit d’un mouvement de quelques privilégiés grassement rémunérés.
L’accord salarial du 3 octobre 2022 dans la branche Pétrole (que la CGT n’a pas signé) montre que les premiers coefficients (130 à 200) sont inférieurs au Smic.
- Un opérateur de raffinerie (coefficient entre 170 et 215) commence au Smic ;
- les chefs opérateurs (coefficient entre 310 et 340) ont un salaire de 2995,92 euros brut mensuel.
On est loin du chiffre de 5000 euros brut en moyenne annoncé par la direction de Total Energies, qui parle de moyenne dans un secteur où les écarts de rémunération entre les salariés et les cadres sont très importants.
Et l’inflation, prévue autour de 6 % pour 2022, vient accroitre les difficultés des travailleurs.
Un peu partout en France, les travailleurs se révoltent et réclament des négociations salariales dignes, au moins à la hauteur de l’inflation.
Pour les organisations syndicales du Puy de Dôme CGT, FO, FSU, Solidaires, l’UNEF et la LDH 63, la grève décidée et votée par les travailleurs∙ses est toujours légitime. Il est inacceptable que des élu∙e∙s et autres personnalités remettent en cause ce droit constitutionnel, en appelant à briser la grève par le pourrissement et y compris par le recours à la force. Pour CGT, FSU, FO, Solidaires, l’UNEF et la LDH 63 c’est clair : nous nous opposons à toute remise en cause du droit de grève et à toute répression contre les grévistes.
Il y a urgence oui, celle de répondre favorablement aux revendications des salarié∙e∙s !
CGT, FO, FSU, Solidaires, l’UNEF et la LDH 63 appellent à soutenir les salarié∙e∙s en grève et à organiser et amplifier les luttes sur les salaires, les traitements et sur les revendications dans toutes les entreprises et services. Rassemblement et conférence de presse à 18h00 vendredi 14 octobre devant les marches de la Préfecture de Clermont-Ferrand.
Lire l'appel intersyndical du Puy de Dôme
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Catégorie : Luttes interprofessionnelles
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Mis à jour : mercredi 21 septembre 2022 17:51
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Dans un contexte inflationniste très important, qui a débuté non pas avec la guerre en Ukraine, mais à la fin du 1er semestre 2021, remplir le réfrigérateur, accéder à la culture, partir en vacances devient en effet de plus en plus difficile pour bon nombre de travailleurs.
Et si le code du travail prévoit une indexation du SMIC en fonction de l’inflation, il ne prévoit pas en revanche d’indexation des salaires sur l’augmentation du SMIC.
Idem pour les minima de branches, qui devraient augmenter dans la même proportion que le SMIC. Ainsi, depuis la nouvelle revalorisation du 1er août dernier,152 branches professionnelles (sur 171) ayant des minima en dessous du SMIC pendant plusieurs mois.
Le gouvernement poursuit de même une politique fiscale qui assèche les comptes de l’Etat au profit des grandes entreprises et au détriment des services publics et du financement de la transition écologique. Nos organisations syndicales dénoncent également l’offensive libérale du gouvernement Macron contre l’éducation nationale, la recherche et l’enseignement supérieur. Par ailleurs, il prévoit une contre-réforme de l’assurance chômage qui va à l’encontre du droit des travailleurs et travailleuses de la possibilité d’avoir des indemnisations du chômage justes, une réforme du RSA qui le conditionnerait à une obligation de travailler de 15 à 20 h hebdomadaires, et continue d’envisager une réforme des retraites qui exigerait de travailler davantage et pourrait conduire à amputer encore davantage le montant des pensions. En ce qui concerne les jeunes et leurs familles, les aides (bourses, APL, allocation de rentrée scolaire) ne sont pas suffisantes pour compenser l’inflation. Une revalorisation significative des bourses scolaires, des APL et de l’ARS est nécessaire pour pallier le prix de la rentrée (qui avec l’inflation a grimpé de 5 à 10 %).
De plus, trop peu de familles bénéficient de ces aides en raison du plafond de ressources à ne pas dépasser. C’est pourquoi la CGT, Solidaires, la FSU, l’UNEF, la Voix Lycéenne et la Confédération Paysanne appellent dès à présent à une journée de grève interprofessionnelle le jeudi 29 septembre qui doit s’inscrire dans une mobilisation large et dans la durée.
Quand l’injustice devient loi, il est de notre devoir de nous mobiliser, de ne pas être dans la fatalité et l’immobilisme. Lutter, c’est agir !
Toutes et tous en grève et en manifestation le 29 septembre ! Départ de la manifestation à 10h30 Place des Luttes (Place des Carmes).
Lire le tract intersyndical départemental
Lire le tract de l'UD Cgt 63
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Catégorie : Luttes interprofessionnelles
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Mis à jour : lundi 29 août 2022 17:26
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Malgré une actualité qui peut paraître morose ou mortifère, le monde du travail se mobilise quasi quotidiennement car la colère et les revendications ne manquent pas. Ce n’est pas les résultats des récentes élections législatives et la nomination du nouveau gouvernement qui sont aujourd’hui la promesse de lendemains qui chantent.
Plus que jamais dans une France marquée à droite voire très à droite la CGT a un rôle moteur à jouer, qu’elle ne pourra jouer seule. L’unité que nous arriverons à construire autour de sujets majeurs pour le monde du travail tels que les salaires ou encore les retraites sera déterminante. Dans un contexte inflationniste très important, qui a débuté non pas avec la guerre en Ukraine, mais à la fin du 1er semestre 2021, remplir le réfrigérateur, accéder à la culture, partir en vacances devient en effet de plus en plus difficile pour bon nombre de travailleuses et travailleurs.
La CGT réclame une réelle réflexion autour des salaires, et non pas un saupoudrage de mesurettes cache misère.
En cette rentrée haute en tensions sociales, la CGT appelle à la mobilisation le 29 septembre prochain à travers toute la France.
Retrouvez les 10 mesures d'urgence pour les salaires et le pouvoir d'achat en suivant ce lien.
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Catégorie : Luttes interprofessionnelles
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Mis à jour : lundi 25 avril 2022 16:18
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La CGT appelle l’ensemble du monde du travail, chaque salarié, privé d’emploi, retraité ou étudiant à se mobiliser largement le 1er mai prochain à l’occasion des manifestations et rassemblements qui seront organisés partout en France. À cette occasion, nous porterons l’exigence du progrès social, dans une société soucieuse de l’avenir de la planète et d’un monde de paix.
Parce qu’il n’y a pas de progrès social possible sans l’assurance d’un avenir durable pour la planète, il n’y aura pas non plus de combat contre la « fin du monde » sans se préoccuper dans le même temps de la « fin du mois ». L’heure est bien à la reconnaissance de la valeur « travail », à la juste rémunération de celui-ci et de notre système solidaire de protection sociale par le salaire brut. Toute augmentation du salaire net par l’abaissement des cotisations sociales est à combattre, car c’est l’ensemble de notre protection sociale qui s’en trouverait fragilisée (retraite, assurance chômage, santé).
Agir et se mobiliser ce 1er mai, c’est porter l’exigence sociale et environnementale au cœur des politiques publiques à mettre en œuvre. C’est agir pour notre système de protection sociale, gagner le retour à une retraite à taux plein à 60 ans et avant pour les métiers pénibles, c’est gagner un Smic à 2000 € brut et l’augmentation des salaires et des pensions en proportion... Bref, c’est agir tant en direction du gouvernement que du patronat pour gagner un monde de progrès social et de paix !

Pour mieux vivre des fruits de son travail dans un environnement durable et un monde de paix, le 1er mai 2022, mobilisons-nous !
Lire le tract intersyndical du Puy de Dôme.
Lire le tract confédéral CGT.
Télécharger l'affiche de l'intersyndicale du Puy de Dôme.
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Mis à jour : mardi 15 mars 2022 15:47
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Nouvelle journée de grève et de manifestations interprofessionnelles le 17 mars.
Le 27 janvier dernier, plus de 170 manifestations portaient la revendication d'une augmentation des salaires et des pensions, à l'appel des organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse FIDL, MNL, UNEF et VL.
L'UNSA se joint à elles pour appeler à une nouvelle journée de grève et de manifestations interprofessionnelles le 17 mars.
Dans l'intervalle, ces organisations soutiennent les nombreuses mobilisations qui ont lieu dans les entreprises ou le secteur public.
- L'inflation a atteint 2,8% en décembre 2021.
- Carburant, électricité, gaz... Le prix de l'énergie à augmenté de 18,6 %.
- Les produits alimentaires de première nécessité ont également vu leur coût augmenter de manière importante.
Une récente étude de l'ONG Oxfam a mis des chiffres sur cette explosion des inégalités.
En France, la fortune des milliardaires a augmenté de 86 % depuis le début de la pandémie, tandis que, dans le même temps, 4 millions de personnes supplémentaires se sont retrouvées en situation de vulnérabilité.
Sous la présidence d'Emmanuel Macron, les 1% les plus riches ont vu leur niveau de vie augmenter de 2,8% en moyenne, quand les 5% des ménages les plus modestes ont perdu jusqu’à 0,5% de leur pouvoir d’achat.
Pour faire face à l'augmentation du coût de la vie, la CGT défend une augmentation générale des salaires dans le secteur privé et des traitements dans la fonction publique, en commençant par les plus bas salaires.
Il faut également augmenter les montants des bourses destinées aux étudiants et les pensions que touchent les retraités.
Lire le tract intersyndical départemental
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Mis à jour : vendredi 21 janvier 2022 19:34
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Avec la flambée des prix de l’énergie, l’inflation est passée au-dessus des 2 % il y a quelques semaines. Cette poussée attise les craintes du patronat : des revalorisations salariales nous feraient tomber dans la spirale inflationniste !
Les hausses de salaires ne peuvent expliquer la reprise de l’inflation cette année. Mais les pointer comme une éventuelle source de l’inflation permet de ne pas remettre en cause la captation des richesses par les actionnaires et de préconiser des solutions d’évitement aux revalorisations ( prime d’activité, intéressement ou participation).
Pour répondre au pouvoir d’achat, la solution, c’est d’abord de permettre aux salariés de faire face aux hausses de prix et de mieux consommer, en revalorisant les salaires au-dessus des prix. Favoriser le pouvoir d’achat des ménages stimulerait la consommation et offrirait des débouchés aux entreprises. Par la même occasion, cela remplirait les caisses de l’Etat et réduirait les déficits publics. L’économie du pays ne pâtirait donc pas d’une inflation salariale modérée autour des 5%. Aussi, le «risque» de voir progresser l’inflation ne saurait être un argument valable pour refuser les augmentations des salaires et les prestations sociales !
C'est pourquoi la Cgt du Puy de Dôme pense qu'Il est urgent et indispensable d’agir toutes et tous ensemble, par la grève et les manifestations, pour l’augmentation immédiate de tous les salaires du privé comme du public, des allocations pour les jeunes en formation et en recherche d’emploi, ainsi que d’améliorer les pensions des retraité-e-s.
Rendez-vous jeudi 27 janvier 2022 à 10h00 Place des Luttes (ancienne Place des Carmes) pour faire entendre nos revendications.
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Mis à jour : lundi 7 mars 2022 23:24
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Le 8 mars, ce n’est pas la Saint Valentin ou la fête des mères, c’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, le moment de se mobiliser pour gagner enfin l’égalité. Et c’est indispensable parce que nous en sommes très loin, notamment au travail: les femmes gagnent en moyenne toujours 28,7 % de salaire en moins. Chaque jour, c’est comme si nous arrêtions d’être payées à 15h40. Le 8 mars, à quelques semaines de l’élection présidentielle, nous voulons une déferlante pour l’égalité. Nous voulons montrer à tou·te·s les candidat·e·s que nous ne lâcherons rien, dans la rue comme dans les urnes.
Partout dans le monde, les femmes se mobilisent et de plus en plus d’hommes refusent d’être enfermés dans des rôles stéréotypés et aspirent à sortir des rapports de domination. Le 8 mars, syndicats et associations féministes appellent à une grève féministe pour exiger l’égalité, au travail comme dans la vie.
Le 8 mars, faisons grève, manifestons, débrayons à 15h40 ou 2 heures avant la fin de la journée pour dénoncer les inégalités salariales!
Rendez-vous 15h40 Place de Jaude.
Lire le tract intersyndicale
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Mis à jour : vendredi 1 octobre 2021 17:36
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La crise sanitaire du COVID-19 a mis en lumière les limites d'un système libéral à bout de souffle, révélant à la fois les inégalités économiques, sociales et environnementales et dénonçant l'exploitation des richesses créées par les hommes par une minorité de profiteur-ses.
La pandémie ne s’estompe pas, partout dans le monde les populations sont touchées, parfois avec une violence et un rythme encore jamais atteints. Début mai 2021 l’OMS rappelait ainsi « Il y a eu plus de cas de Covid-19 signalés au cours des deux dernières semaines dans le monde, qu'au cours des six premiers mois de la pandémie ». Officiellement, plus de 200 millions de personnes ont déjà été contaminés et quasiment 5 millions en sont mortes, à cela s’ajoute les millions de Covid longs dont les conséquences à long terme sont encore méconnues (des études estiment que 10% des contaminés développent des séquelles plus ou moins importantes). L'OMS a par ailleurs reconnu que le nombre de décès liés directement ou indirectement au Covid-19 est « significativement sous-estimé », la surmortalité enregistrée étant deux à trois fois plus élevée que les décès attribués au virus. Le Covid-19 aurait causé au moins trois millions de décès directs et indirects pour la seule année 2020 alors que les bilans officiels font état d'environ 1,8 million de morts. À l'instar de l'université de Washington, elle estime que la pandémie aurait fait « environ 6 à 8 millions » de morts. Et le manque, voire l’absence de coordination au niveau mondial, n’ont fait qu’accentuer ce désastre humain et social.
Pour la CGT, le discours a toujours été clair : la vaccination doit rester un choix et il faut convaincre et non contraindre. En rappelant inlassablement que la lutte contre le virus ne pourra être complète qu’avec des mesures de réorganisations sociales visant à la suppression virale, et cela quel que soit le taux de vaccination. Les positions de l’OMS font directement échos à ce que le mouvement syndical progressiste recommande à travers le monde. La grande majorité des forces sociales et progressistes du globe font le constat que face à une pandémie, un système de santé gagné aux intérêts privés n’est pas en mesure d’y faire face. La CGT refuse le passe sanitaire, les reculs en matière de droit du travail qu’il génère et la stigmatisation par la vaccination obligatoire des soignants.

En cette rentrée, l’emploi est une des préoccupations essentielles des jeunes et du monde du travail. La précarité est en forte hausse, et malgré une opposition unanime, la mise en œuvre de la réforme de l’assurance chômage reste d’actualité. Le retour de la réforme des retraites que nous avons combattue et empêchée revient à l’ordre du jour. Gouvernement et patronat veulent imposer de nouveaux reculs sur les retraites. Le chômage partiel a provoqué la plupart du temps des baisses de rémunération importantes. La CGT réaffirme son opposition totale à la reprise de la réforme de l’assurance chômage et à la poursuite de toutes les actions qui ont déjà permis de la combattre et en faire suspendre l’application. Elle réaffirme également son opposition totale à toute réouverture de discussions sur la réforme des retraites, pas question d’aller autour d’une table discuter d’un projet d’allongement de la durée de cotisations ou du recul de l’âge.
Pour la CGT, il est possible et urgent de rompre avec le modèle que tente de nous imposer les gouvernants actuels. Ensemble, dans l'unité la plus large, nous pouvons imposer le choix du progrès pour un monde juste, durable et solidaire qui nécessite de fortes transformations économiques, sociales et environnementales.
Le 5 octobre, mobilisé-e-s pour nos salaires, nos emplois et nos conditions de travail et d’études ! Faire du 5 octobre une date incontournable de la mobilisation sociale.
Lire le tract de l'UD Cgt 63
Lire le tract de l'intersyndicale départementale
