bastion social

  • Lettre ouverte au Préfet du Puy de Dôme.

    Lettre ouverte de l'Union Départementale CGT du Puy de Dôme au Préfet du Département, suite aux nouvelles violences commises par les membres du Bastion Social.

    Clermont le 11 septembre 2018

    « Monsieur le Préfet, le « Bastion Social » a encore frappé…

    Selon l’article de La Montagne publié le 9-09-2018, quatre passants se sont faits agresser rue de la Treille à Clermont-Ferrand dans la nuit de samedi à dimanche 9 septembre 2018, devant le local du Bastion Social et par des membres de ce groupuscule. Une des victimes souffre aujourd’hui d’une double fracture à la jambe et une autre a le nez cassé.

    Cette agression s’ajoute aux précédentes, rapportées par la presse locale comme nationale, qui ont été commises depuis l’implantation du Bastion Social à Clermont-Ferrand, mouvance raciste et violente, originaire de la région lyonnaise et héritière du « GUD ».

  • Mobilisons nous lors du procès de membres du « bastion social »

    Vendredi 19 octobre l'UD CGT 63 et le collectif de Lutte Contre l'Extrême Droite appellent au rassemblement de midi jusqu’à la fin de l’audience des membres du Bastion Social – Tribunal Correctionnel de Clermont – Place de l’Étoile

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    Depuis le mois de juillet, le Bastion Social a pignon sur rue à Clermont-Fd. L'UD Cgt et le collectif ont pourtant interpellé la Préfecture, le Premier Ministre ou le Défenseur des Droits entre autres, pour demander la fermeture de cette d'officine.

    Nous avons tenu des conférences de presse, informé dès que possible. La question d'un journaliste lors de la conférence de presse de début juillet qui restera comme mémorable : "De quoi avez vous peur ?"... Nous craignions exactement ce qui s'est passé dès le 14 juillet au soir : des violences extrêmes et gratuites contre les riverain-e-s, des militant-e-s... Systématiquement depuis le 28 mars dernier, l'UD a pris ses responsabilités pour que les autorités prennent les leurs. Malgré toutes nos alertes, rien n'a été fait à Clermont comme ailleurs et les violences continuent...